3 – L’entreprise LAW

Les premiers appareils

C’est à Paris que Louis-Adolphe Wisler va concevoir le COUPLEUR pour GROUPE MOTEUR, invention qui permet de faire marcher un moteur à des vitesses différentes. Lire la notice »

La création de la Société

En 1928, les banques ne voulant pas prêter d’argent à un jeune homme sans garanties, Robert Trauet, fidèle ami de Louis-Adolphe Wisler, lui conseilla de prendre contact avec Mlle Castening, gouvernante de son oncle qui venait de décéder et dont elle avait hérité. Celle-ci prêtera la somme nécessaire à l’achat d’un terrain à Senlis (Oise) de deux hectares appartenant à M. Michel Robert. Lire la notice »

Un réseau commercial étendu

Charles Niggly avait connu Louis-Adolphe Wisler à l’Union Sportive Suisse (USS) à Paris et une très grande amitié se lia entre eux. Né à la Neuveville (Berne) en 1890, il avait fait des études de commerce à Bâle. Il était un grand joueur de football au club des Old-Boys de Bâle. Il a été engagé au club de foot à San Sebastian en Espagne pour deux saisons vers 1910. Il travaillait dans une entreprise de Transitaire en Douane. Il monta à Paris et travailla, entre autres, chez Louis-Louis Dreyfus, import-export de céréales, au service des changes.

Louis-Adolphe Wisler était un très bon gardien de but et ils jouaient tous deux au Football à l’USS.
Charles Niggli est entré dans la société, quand elle s’est installée à Senlis, comme Directeur Commercial jusqu’au moment de sa retraite officielle à 65 ans, et effective à 72 ans. Lire la notice »

La seconde guerre mondiale

En juin 1940, l’évacuation fut organisée vers les usines LEROY à Angoulème, qui avaient fait de la place pour accueillir les machines outils et matières premières, dossiers et archives. Malheureusement, les Allemands sont arrivés à Angoulème avant les wagons qui contenaient le matériel. Lire la notice »

La libération

En 1944, c’est la libération mais les restrictions étaient plus grandes que jamais. Il a fallu attendre 1949 pour que  les conditions de vie redeviennent normales, que la reconstruction démarre, que l’on obtienne des matières premières de qualité. Lire la notice »

La disparition de Louis-Adolphe Wisler

Louis-Adolphe Wisler tombe malade en 1951, des suites opératoires désastreuses d’une opération de la vésicule biliaire, faisant de lui un cardiaque. Dès qu’il se sentait mieux il retournait à l’usine, mais, lorsqu’il devait garder la chambre, sa fille Jacqueline faisait la navette entre l’usine et la maison pour lui apporter tous les documents afin qu’il puisse continuer de diriger son entreprise depuis son lit de souffrance. Lire la notice »